lundi 25 avril 2011
jeudi 21 avril 2011
Clark // Totems Flare
Chris Clark devrait sûrement vivre enfermé, avec une camisole et quelques cachets pour vider son cerveau malade de toute pulsion artistique. Au lieu de cela, ce dingue commet son troisième disque chez Warp et prend manifestement les mauvaises pilules. Notre génial expérimentateur mélange, dans son laboratoire mental, beats craquelés avec rythmes percussifs, voix vocodées sur mélodies maltraitées.
La techno mutante qui en résulte ravira pleinement l’auditeur patient, exigeant et/ou torturé.
mardi 19 avril 2011
jeudi 14 avril 2011
mercredi 13 avril 2011
Ray Caesar
lundi 11 avril 2011
samedi 9 avril 2011
Deborah's Theme
De 1961 à 2011, Ennio Morricone aura composé la musique de plus de 500 films et programmes télévisés. Ce thème tiré de ''Once Upon A Time In America" (1984) restera l'un de mes préférés.
mardi 5 avril 2011
John Grant // Café de la Danse - - Part 1
1er avril 2011
Guest : Alessi's Ark
Passage Louis Philippe à Bastoche, le bloc monolithe noir du Café de la Danse est immanquable. Ce soir, c'est l'ancien chanteur et clavier des Czars qui s'y produit. Le groupe slowcore de Denver, mi-90's était signé chez Bella Union, l'élégant et ecclectique label de Simon Raymonde des Cocteau Twins. La chanson ''Val'' en 2000 avait lessivé mon petit coeur mignon et le stupéfiant 'Drug', un an plus tard l'avait achevé en l'essorant. Des bons albums, le groupe en avait au compteur lors de la séparation inévitable en 2006. Grant garde alors son bassiste Chris Pearson et la fidélité de son employeur pour son premier projet solo paru en 2010 ''Queen Of Denmark". L'accueil de celui-ci par le pirate intransigeant et accessoirement des critiques en globalité est unanime : le disque fait partie de ces compagnons délicat qui longtemps ravira l'auditeur sensible et exigeant.
John Grant // Café de la Danse - - Part 2
Le Café de la Danse, c'est 500 places assises, malheur à celui qui arrive à la bourre. Dommage, c'est tout en hauteur qu'on appréciera Alessi's Ark, ravissante godiche anglaise à guitare qui nous promet sa première livraison folk bientôt dans les bacs et un John Grant imminent et très drôle.
Retenons "Horses"et "Hummingbird" qui closent son charmant set.
Arrivent mon Johnny Boy, accompagné de Chris P., eux deux se partagent les claviers, pour notre chanteur, ce sera le plus souvent ce piano à queue qui mange un tiers de la scène et dont il tire des accords crève-coeur.
Un inédit pour commencer, la voix magistrale impose implicitement le silence dans la salle, effet garanti. Les titres se succèdent et je suis porté par la grâce (sans blagues, ...ça te pose un problème !!!) de ce folk à la fois moderne, puissant et personnel.
Le barbu est disert, et effectivement assez drôle, entre chaque morceaux il dévoile ses chansons : c'est vrai que sa vie est tourmentée (enfance ultra catho, homo réprimé, ex-alcoolique et toxico et pire : grands frères sportifs).
Ses textes ciselés puisent dans ce vécu avec une belle ironie et une lucidité retrouvée.
Quand, aux 2/3, Grant reprend, solo, 2 titres des Czars et notamment ''Drug", c'est le climax. A cet instant, je pourrais aller piquer la couronne de Margrethe II la danoise et aller la lui coiffer sur sa tête de loser magnifique.
Il termine le concert, visiblement joyeux des acclamations méritées et généreuses.
Lui et son pote ne reviendront pas pour le rappel.
M'en fous, j'ai eu mon compte en déflagration émotionnelle.
M'en fous, j'ai eu mon compte en déflagration émotionnelle.
lundi 4 avril 2011
samedi 2 avril 2011
Nosferatu de Murnau - Musique de Philip Glass
Allez, un peu d'épouvante pour oublier notre société anxiogène et cette période trouble, nourrie de guerres, de bouleversements écologiques et de menaces de catastrophe nucléaire.
Tu peux remercier ton bon Rackham, lecteur.
Tu peux remercier ton bon Rackham, lecteur.
vendredi 1 avril 2011
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